En ligne de mire des deux organisations, la société Qosmos, soupçonnée d’avoir participé à un consortium prévoyant la vente de matériel d’espionnage au régime syrien.
Des logiciels permettant notamment l’interception de communications internet, « facilitant ainsi l’identification de dissidents » écrivent les avocats de la FIDH et de la LDH.
La société en question a assuré s’être désengagée du consortium . « On ne peut pas se satisfaire d’une déclaration d’intention, estiment les avocats, le parquet à l’opportunité des poursuites, nous ne comprendrions pas qu’il ne cherche pas à vérifier si une société française a bel et bien vendu ce type de matériel à une régime condamné de tout temps pour ses atteintes aux droits de l’homme ».
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