- Erignac: non-lieu général requis dans la « piste agricole »
Dix-huit ans après avoir été décrétée « hypothèse privilégiée » de l’enquête sur l’assassinat du préfet Erignac, cette procédure est peut-être en passe d’être définitivement abandonnée. Le parquet antiterroriste a requis en ce sens
L’épisode figurera dans les annales des fiascos liés à l’antiterrorisme français, un tunnel de dix-huit années au cours desquelles les magistrats auront obstinément refusé de tenir la « piste agricole » de l’enquête sur l’assassinat du préfet Erignac pour ce qu’elle était : un songe-creux, une faribole.
Le 3 mai dernier, le parquet antiterroriste de Paris a requis un non-lieu général dans cette procédure 1337, qualifiée de « dossier-poubelle », qui avait pourtant prospéré à grand renfort de publicité médiatique au lendemain de l’assassinat du préfet de région Claude Erignac, le 6 février 1998.
Depuis près de vingt ans, trente et une personnes liées au monde agricole —mais pas seulement — se trouvent toujours sous le coup d’une mise en examen et pour certaines, encore théoriquement assujetties à un strict contrôle judiciaire. Trois d’entre elles ne verront même pas satisfait leur souhait d’être mises hors de cause : elles sont décédées depuis.
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- Affaire Erignac: vers l’épilogue de l’enquête oubliée sur la « piste agricole »
Dix-huit ans après l’assassinat en Corse du préfet Erignac, le parquet de Paris a requis un non-lieu général dans l’enquête menée sur une piste dans les milieux agricoles, a-t-on appris de sources judiciaire et proche du dossier.
Cette procédure est restée ouverte des années, avec de nombreux mis en examen, malgré l’arrestation du véritable commando.
- Affaire Erignac: un non lieu requis dans la « piste agricole »
le parquet antiterroriste de Paris a requis un non-lieu général à l’encontre de 31 personnes, des hommes, des femmes dont des militants nationalistes poursuivies dans le cadre de la « piste agricole », ouverte au lendemain de l’assassinat du préfet Erignac, le 6 février 1998