Les débats ont été longs et techniques, le décryptage étant nécessaire sur des relations entre le groupe Apavou et le crédit Foncier qui remontent à plus de 30 ans. Initialement, le procès devait s’étendre jusqu’à ce jour. Il n’en a rien été. Il faut dire qu’Armand Apavou n’avait pas fait le déplacement, ni les deux témoins cités par voie d’huissier par le CFF, d’anciens experts comptables du groupe Apavou qui ont refusé de répondre à l’acte d’huissier.
Un procès pour savoir si l’ancien dirigeant savait que ses entreprises étaient en état de cessations de paiements depuis longtemps, bien avant que BLI et Batipro – les principales entreprises du groupe dans lesquelles se trouvaient tous les actifs – ne se placent sous la protection du tribunal de Saint-Denis.
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