Après la polémique qui avait vu le jour lors de l’adoption de la loi relative à la protection du secret des affaires et, beaucoup plus récemment, le scandale de l’affaire Perenco, la rédaction s’est penchée sur les moyens effectifs des victimes de crimes économiques pour faire valoir leurs droits. Emmanuel Daoud, avocat pénaliste, Sandra Cossart et Laura Bourgeois, de l’ONG Sherpa, ont accepté de répondre à nos questions. Voici, en premier lieu, le point de vue d’Emmanuel Daoud.
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