Elle fut la première piste privilégiée dans l’enquête sur l’assassinat de Claude Érignac. Au bout de la piste agricole, pensait le tout-puissant chef de la division nationale antiterroriste Roger Marion, se trouvaient les assassins du préfet. Mais elle se révélera surtout être l’obstination d’un homme prêt à faire tomber « un déluge de feu » sur la Corse pour résoudre cette affaire.
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