L’intĂ©rĂŞt public pour les questions liĂ©es aux antennes-relais de tĂ©lĂ©phonie mobile et leurs Ă©ventuels risque sur la santĂ© de l’homme a cessĂ© de croĂ®tre ces dernières annĂ©es. cet intĂ©rĂŞt a notamment Ă©tĂ© alimentĂ© par la multiplication tant de rapports scientifiques sur la question que d’initiatives judiciaires menĂ©es par des riverains d’antennes-relais.
De leur cĂ´tĂ©, certains Ă©lus locaux ont cru pouvoir se saisir de cette question en interdisant l’implantation d’antennes-relais sur leurs territoires; ces initiatives ont Ă©tĂ© censurĂ©es par le Conseil d’État dans trois dĂ©cisions du 26 octobre 2011.
Le tribunal administratif de Nantes a lui Ă©tĂ© saisi de la validitĂ© d’un dĂ©cision du conseil municipal, visant cette fois Ă abaisser la valeur limite d’exposition aux champs Ă©lectromagnĂ©tiques Ă©mis par les Ă©quipements de tĂ©lĂ©phonie mobile.
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