Quand la marée médiatique se retire, il reste sur la plage un varech plat à l’odeur qui dérange. Changement d’ambiance complet, hier, au tribunal conditionnel de Lille. D’abord, le président Bernard Lemaire, qui avait lundi un noeud papillon à rayures en avait cette fois à pois. Ensuite, les batailles de procédures où les avocats entrent en éruption comme des volcans en robe noire sont terminées. Enfin et surtout, il n’y avait hier matin ni DSK, ni Dodo-la-Saumure, les stars de ce procès pour proxénétisme aggravé.
Il reste des personnages en chute libre, dans anciens enfants qui ont beaucoup gâché leur vie. Ainsi, René Kojfer et il faudrait un Houellebecq pour décrire ce “tocard” (selon un de ses “amis”) fasciné par la lumière. En 1941 naît ce petit enfant juif dans une famille de commerçants: les temps sont cruels, et on cache l’enfant en Suisse.
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