Exercer une partie de son activité en pro bono, est pour les cabinets d'avocats, une pratique fréquente, qui pulse sa source dans le cœur même de la profession. Cependant, ce mécénat de compétences semble aujourd'hui, sans doute sous l'influence de cabinets anglo-saxons, s'organiser. Quels en sont les acteurs? Dans quel but? Quelles conséquences sur l'activité, sur l'image du cabinet? Quel statut fiscal? Ce dossier fait le point sur une question d'actualité.
"Cela a d’abord été un engagement personnel, notamment aux côtés de la FIDH dont je suis membre du groupe d’action judiciaire (groupe composé d’avocats, de magistrats, d’universitaires, d’étudiants tant en France qu’à l’étranger) depuis 2004."
Emmanuel Daoud, Avocat à la cour, Cabinet Vigo.
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